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1/ Le hacktivisme: il peut se définir comme un engagement politique. Cette notion consiste à utiliser ses compétences pour exprimer ses convictions. Il faut parfois enfreindre la loi, mais cet acte est justifié par une cause. Ce hacker modifiera une page d'entrée d'un site, y ajoutera un texte personnel, ou bien enverra un virus à l'entreprise qu'il juge malveillante. Le hacktivisme, c'est une pratique à mi chemin entre les graphs artistiques ou bien un tag ordinaire que vous pouvez contempler sur un mur....Par exemple, le site du Ku Klux Klan a régulièrement fait l'objet d'attaques.

 

 

 

 

3/ Le magicien: Envisageons un personnage plus malicieux. Il met en scène des tours et s'entoure d'une atmosphère de mystère. Les hackers dont nous parlons jouent leurs tours via ordinateurs bien sur, mais le concept reste le même: profiter de l'incrédulité ! Un "Garcymore" des temps modernes en quelque sorte. Ex: Modifier un casier judiciaire...

 

 

2/ Le criminel: Car outre le hacktivisme, il faut admettre que bon nombre de hackers se moquent du rôle qu'ils sont censés jouer. Ils mènent leurs activités pour des raisons personnelles et non pour répondre aux attentes d'autres individus. La plupart des hackers jouent pourtant un rôle, qu'il soit bon ou mauvais. Aussi, le statut de criminel est probablement le plus attribué aux hackers. Il s'agit du rôle le plus souvent dépeint par les médias. Il est donc logique que la plus grande majorité du public, professionnels de la sécurité exceptés, pense qu'elle constitue une seule et unique motivation. Pourquoi ? A cause des journaux regorgeant des délits et exploits des hackers. C'est la raison pour laquelle l'opinion est tant déformée.

4/ Les professionnels de la sécurité: En mettant de coté la connotation criminelle de la notion de "hackers", deux questions se posent : comment empêcher les intrusions dans un système si l'on ne connait pas leurs mécanismes ? Comment évaluer le niveau de sécurité d'un nouveau système? Telle est la réfléxion...

5/ Le défenseur du simple consommateur : Cette position s'éxplique bien souvent par le conflit dans la communauté des hackers sur la transparence des découvertes. ( voir le texte sur les White hats ). En effet car lorsqu'une faille n'est pas dévoilée au public, les éditeurs n'assument pas toujours leurs responsabilités et ne se sentent pas obligés de fournir des correctifs logiciels rapidement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

6/ Le cyberguerrier: C'est sans doute le rôle le plus dérangeant. Malheureusement, à l'heure actuelle, la réalité a dépassé la fiction : Les rumeurs et les révélations des médias sur la constitution d'équipes de "Cyberguerriers" par les gouvernements sont trop nombreuses pour être totalement infondées. Le plus dérangeant et le plus grave, puique presque tous les types d'infrastructures comme l'éléctricité, l'eau, l'argent deviennent contrôlables à distance. On parlerait d'hypothétiques guerres "éclair" sans effusion de sang...

 

 

 

 

 

Texte de Magistrat

4/ Le Hack market. et bien oui, à l'époque de la surconsommation et du faste industriel, de nouvelles techniques comme les campagnes virales mais aussi de hack marketing sont apparues, et il n'est pas rare que nombre de webmasters s'en prennent eux mêmes à leur propre site. Le coup de pub est éfficace selon la nature du site, et peut amener à une fréquentation supérieure....